La sante est aujourd’hui un aspect très important de la vie. Un vivant dépourvu de sante ne peut sans doute pratiquer aucune activité. Au nombre des maladies qui peuvent un vivant, nous avons l’insuffisance renale qui reste depuis des temps anciens une maladie assez dangereuse puisque les reins jouent un rôle très capital. Cette maladie va jusqu’à nécessiter une transplantation renale par le biais d’un donneur. Cependant, le donneur ne peut être une personne quelconque et il lui faut remplir des formalités données. Retrouvez dans cet article, les conditions à remplir pour être un donneur efficace.
Qui sont les personnes qui peuvent faire un don un rein ?
Au niveau de certains pays, et plus précisément, la France, la greffe de rein est la transplantation renale la plus pratiquée. Cela nécessite la présence d’un donneur plus ou moins en pleine forme et d’un rein vivant. La personne voulant donner le rein peut aussi être en situation de mort cérébrale, l’essentiel qu’il ait ses organes toujours en vie. Cependant, la CSP (code de santé publique) donne comme condition pour le don des organes la plus précisement la greffe une présence d’un individu vivant en pleine forme et ayant toutes ses facultés en place. Cet individu peut être de la même famille que le receveur, c’est-à-dire quelqu’un partageant les liens familiaux et de sang avec le receveur (père, mère, sœur ou ami proche). Cet individu doit être libre et volontaire.
Quelles sont les conditions ?
L’individu voulant faire le don de son rein doit remplir des conditions idéales. Il doit faire en premier lieu une dialyse afin d’analyser son sang. Il doit aussi faire un examen médical complet afin de voir si son organisme n’est lié à aucun problème. Les patients doivent être suivis de façon précis car l’opération de don peut tourner à l’embuche à n’importe quel moment. L’examen médical établi avec l’agence de biomedecine chargée du don serait aussi pour vérifier la compatibilité du donneur avec le receveur. L’insuffisance renale n’est pas un problème à négliger, car les greffes peuvent mal se dérouler et cela pourrait créer d’autres problèmes. Raison pour laquelle il est fortement conseillé de réaliser ces bilans. Le receveur d’organe doit aussi faire des analyses afin de vérifier à chaque instant l’état de son corps.
Les phases à suivre par le donneur
Avant que l’individu qui aimerait donner l’organe ne passe à l’acte, il doit suivre un certain nombre d’étapes. La première phase consiste à informer ce dernier de comment se passera l’opération ainsi que les risques qu’il peut courir. C’est une phase très importante, car elle peut avoir un impact direct sur la décision de l’individu. A la suite, les donneurs peuvent donner leurs accords et cela devrait être présenté au tribunal de grande instance pour juger état de la décision libre de ceux-ci. Ensuite, il faudrait passer à l’intervention des greffes qui peut être assisté par d’autres docteurs spécialisés. Après cela, intervient la phase de suivi des patients. Ce suivi aura pour but de voir si la vie des donneurs ainsi que les reins fonctionnent normalement. Un contrôle normal et régulier est donc conseiller. Des analyses de dialyse doivent aussi se faire dans des situations de complication après intervention.